Lomé, la capitale du Togo a accueilli lundi, le 1e sommet conjoint des Chefs d’État et de Gouvernement de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de la Communauté Économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC). Ce sommet porté sur la Paix, la Stabilité, la Sécurité, et la Lutte contre le Terrorisme et l’Extrémisme Violent vise une synergie d’actions des deux espaces pour lutter contre le terrorisme et de garantir la paix aux populations des deux régions. Le Sommet de Lomé a été sanctionné par une déclaration dite « Déclaration de Lomé ».
Vu l’importance de ces décisions, le sommet de Lomé décide de la mise en place d’un comité ministériel de suivi de leurs mises en œuvre.
Par ailleurs, les chefs d’État et de gouvernement de la CEDEAO et de la CEEAC ont décidé d’institutionnaliser le sommet conjoint en le tenant tous les deux ans et N’Djamena, la capitale du Tchad a été choisie pour le rendez-vous de 2020.
Rappelons que les travaux de ce 1e sommet conjoint des Chefs d’État et de Gouvernement de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de la Communauté Économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) ont été présidés par le Chef de l’État togolais, Faure Gnassingbé en sa qualité de président en exercice de la CEDEAO et de son homologue gabonais, Ali Bongo, président en exercice de la CEEAC.