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Sida : Le Togo maintient le cap de la lutte

Rédigé par : Gapola

C’est l’une des maladies les plus mortelles au monde, même si au cours de ces dernières années, des antalgiques et d’autres sortes de médicaments permettent aux patients de vivre sans des effets apparents. Le Togo fait partie des pays qui accordent beaucoup d’importance et de moyens financiers à la lutte contre le Sida.

Depuis le bas âge dans les classes du primaire, le système éducatif fait comprendre aux élèves la nécessité de se préserver contre le VIH/Sida. Très tôt, chaque enfant sait qu’il existe 3 moyens de contamination que sont la voie sanguine, la voie sexuelle et la voie mère-enfant.

Il est important de prendre des précautions

Le Syndrome d’immunodéficience acquise (Sida) constitue les stades les plus avancés de l’infection au Virus de l’immunodéficience humaine (VIH). Il engendre un cancer potentiellement mortel ainsi que des infections opportunistes qui profitent d’un système immunitaire affaibli pour faire ravage dans le corps de la personne affectée.

Le Sida pourrit l’existence humaine, d’où la nécessité de prendre des précautions pour ne pas le choper. Le Togo met plus en avant la prévention. Mais il n’est pas pour autant moins actif en ce qui concerne le traitement offert aux Sidéens.

L’engagement national salué

Le Programme commun des Nations unies sur le VIH/Sida (Onusida) coordonne l’action des différentes agences spécialisées de l’Onu pour lutter contre la pandémie du VIH/Sida.

Son directeur pour le Togo et le Bénin admire les efforts consentis par le Togo pour faire barrière à la maladie. Il félicite les excellents résultats obtenus ces dernières années grâce aux choix des autorités de mettre l’accent sur les communautés dans cette lutte afin de ne laisser personne de côté. À l’horizon 2030, le Togo espère éradiquer totalement le virus, conformément aux ambitions de l’Onusida.

Les stratégies déployées

Le pays affronte la maladie à travers la sensibilisation, le dépistage, la distribution des préservatifs, le traitement antirétroviral, la prise en charge psychologique, etc.

Au cours de l’année 2022, on indique que les services de prévention ont facilité le dépistage de plus de 57 000 personnes sur le territoire. Le pays a offert 18 millions de préservatifs à la population cible dans le cadre de la riposte nationale.

La même année, le nombre de personnes vivant avec le VIH (PVVIH) et qui bénéficient d’antirétroviraux (ARV) s’est établi en hausse à 86 679.

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