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«Un avenir paisible et durable dans les zones d’exploitation minière au Togo»,tel est le désir du COMINTES en initiant le projet de «dialogue des parties prenantes autour des droits fondamentaux des communautés des zones minières au Togo ». D’une durée de 4ans, il couvrira les régions minières du Togo notamment les préfectures de Vo, Yoto, Kloto, Bassar, Kpéndjal et Dankpen.
Pour atteindre l’objectif principal du projet qui est de garantir la justice sociale dans les zones d’exploitation minière, le comité de pilotage s’est doté d’un certain nombre d’initiatives.
Il s’agit de renforcer la capacité des populations en matière de défense des droits d’exploitation minière, la capacité structurantes et les compétences des OSC et communautés locales ; amener le gouvernement et les institution de la république à améliorer le cadre juridique du secteur extractif et assurer le respect des conventions pour une transparence dans la gestion des flux financiers.
Au terme du projet, il est attendu comme résultat, une collaboration entre les OSC et entreprises extractives autour de l’élaboration et la mise en place des plans de développement local. Il est aussi attendu des communautés, la capacité de gestion des ristournes issues des paiements infranationaux.
Cette initiative, « fait suite au constat selon lequel malgré les richesses naturelles dont disposent certaines localités du Togo, les populations de ces zones vivent dans la précarité et sont souvent victimes des droits humains», a expliqué Napo Kitchéou, Coordonnateur du projet.
Quant à l’UE, elle explique son soutien financier au projet «par sa vocation de sortir les couches vulnérables de la pauvreté et permettre le respect des droits humains à tous les niveaux sociaux », a indiqué Nicolas Berlanga, Chef de la délégation de l’UE au Togo.
Lancé officiellement ce jour, le ministère des mines, l’Assemblée nationale, le HCRRUN, L’ ITIE et d’autres organisations étatiques que privées sont impliqués dans la réalisation de ce projet.
Esaïe E.
L’ONG Comité International d’Éthique et de Solidarité (COMINTES) et l’Union Européenne (UE), vu la vulnérabilité dans laquelle vivent les populations des zones d’exploitation minière au Togo, ont initié un projet de dialogue des parties prenantes sur les droits fondamentaux. Ledit projet a été lancé ce mardi à Vogan, dans la préfecture de Vo.
«Un avenir paisible et durable dans les zones d’exploitation minière au Togo»,tel est le désir du COMINTES en initiant le projet de «dialogue des parties prenantes autour des droits fondamentaux des communautés des zones minières au Togo ». D’une durée de 4ans, il couvrira les régions minières du Togo notamment les préfectures de Vo, Yoto, Kloto, Bassar, Kpéndjal et Dankpen.
Pour atteindre l’objectif principal du projet qui est de garantir la justice sociale dans les zones d’exploitation minière, le comité de pilotage s’est doté d’un certain nombre d’initiatives.
Il s’agit de renforcer la capacité des populations en matière de défense des droits d’exploitation minière, la capacité structurantes et les compétences des OSC et communautés locales ; amener le gouvernement et les institution de la république à améliorer le cadre juridique du secteur extractif et assurer le respect des conventions pour une transparence dans la gestion des flux financiers.
Au terme du projet, il est attendu comme résultat, une collaboration entre les OSC et entreprises extractives autour de l’élaboration et la mise en place des plans de développement local. Il est aussi attendu des communautés, la capacité de gestion des ristournes issues des paiements infranationaux.
Cette initiative, « fait suite au constat selon lequel malgré les richesses naturelles dont disposent certaines localités du Togo, les populations de ces zones vivent dans la précarité et sont souvent victimes des droits humains», a expliqué Napo Kitchéou, Coordonnateur du projet.
Quant à l’UE, elle explique son soutien financier au projet «par sa vocation de sortir les couches vulnérables de la pauvreté et permettre le respect des droits humains à tous les niveaux sociaux », a indiqué Nicolas Berlanga, Chef de la délégation de l’UE au Togo.
Lancé officiellement ce jour, le ministère des mines, l’Assemblée nationale, le HCRRUN, L’ ITIE et d’autres organisations étatiques que privées sont impliqués dans la réalisation de ce projet.
Esaïe E.