Mais la situation se complique un peu davantage, puisqu’après investigations et interrogations, 29 des élèves arrêtés sur les quarante (40) sont libérés vendredi. Mais onze (11) autres, dont 4 filles et 7 garçons, sont toujours maintenus à la Police Nationale et à la Brigade de recherches et d’investigations (BRI) pour la suite des enquêtes.
Ces derniers soupçonnés d’être les véritables cerveaux, encourent si les accusations sont avérées une peine de 2 à 6 mois de prison et une amende allant de deux (2) à 10 millions FCFA, selon l’article 139 du code pénal du Togo.