L’UITA-Togo évalue ses activités 2023. En présence d’Adwoa Sakyi, coordinatrice régionale de l’UITA, UITA-Togo a fait dimanche 26 novembre 2023, à Lomé, le bilan de ses activités 2023 et a planifié celles de 2024.
L’exercice a permis à la Coordination Projet Femmes UITA et la Coordination nationale de l’UITA-Togo, de passer en revue les résultats atteints dans la mise en œuvre des Projets 60567 et 60592 au cours de l’année et de définir les stratégies pour l’atteinte des résultats de 2024.
Il s’est agi pour Émilie Viho, coordinatrice Projet Femmes UITA-Togo de présenter la matrice du projet 60567 et à Yawovi Bissilliou Alawoe, coordinateur national UITA-Togo de présenter la matrice du projet 60592. Les travaux qui se sont poursuivis en groupe ont permis d’analyser les résultats et de faire des projections pour 2024.
Quid de l’importance des travaux
Selon Mme Viho, l’évaluation des activités 2023 et la planification 2024 a particulièrement permis d’identifier les résultats en se basant sur quatre (04) questions à savoir : Est-ce que nous avons fait ce que nous avons planifié pour 2023 ?, Est-ce que nous les avons bien faits ?, Est ce que nous parvenons à apporter des changements ? Est-ce nous devons persister dans cette voie ?
” Suite à cette évaluation, nous pourrions proposer des actions pour 2024 permettant d’atteindre les objectifs des projets ” a-t-elle indiqué.
A en croire Yawovi Bissilliou Alawoe, coordinateur national de l’UITA-Togo, l’atelier revêt une importance capitale dans la mesure où, il a permis de revenir sur ce qui a été fait et ce qui nous attend.
” Il était question pour nous de fuiter nos activités de 2023 et de les opposer les résultats obtenus par rapport aux résultats attendus… Vous êtes sans savoir qu’une activité est organisée pour produire des effets réels et c’est ce qui nous a guidé à travers ledit atelier ” a-t-il expliqué.
Selon Adwoa Sakyi, coordinatrice régionale de l’UITA, l’Union travaille dans sept (7) pays francophones.
”Cela veut dire que nous attendons des corrélations entre les projets Femmes et les projets généraux au sein des formations de syndicats. C’est pourquoi nous avons mis les deux projets différents pour être examiné dans une même section. C’est un cycle de projet qui a commencé en 2018. Le projet 2024-2025 à venir doit mettre l’accent sur le changement. Ce que nous faisons aujourd’hui, vise à apporter le changement dans le processus… Nous espérons que les deux projets notamment les projets Femmes et les projets généraux de formation des syndicats doivent travailler en symbiose pour atteindre les résultats communs. Pour cela, nous devons être spécifique dans la définition de nos activités pour l’année 2024 ” a indiqué Mme Sakyi.
Caleb AKPONOU
