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Le sous-secteur de l’enseignement Togolais a le vent en poupe

Rédigé par : Gapola

C’est  un secret de polichinelle que le sous-secteur de l’enseignement général a  le vent en poupe au  Togo pour la  simple raison que  beaucoup de réformes y sont introduites depuis belle lurette par les autorités togolaises.
 

De la construction des infrastructures tous azimuts  aux  conditions d’études  des   apprenants,  en passant par  les conditions de  vie et de travail des enseignants, les actions du gouvernement ont progressivement   transformé  le visage de l’enseignement au Togo. 
Infrastructures d’accueil : La base
En matière de prouesses réalisées par le gouvernement, on peut mettre la lumière sur  la  multiplication des infrastructures d’accueil depuis 2005.  En  toile de  fond la construction de cinq (5) nouvelles Écoles Normales d’Instituteurs portant le nombre à six (06), avec comme objectif de former en quantité et en qualité des enseignants pour une éducation de qualité.
Par ailleurs, comme promis en 2005, dans son programme  intitulé les « 20 plus » en son point 9, le président de la République, Faure Gnassingbé,  a fait construit de plus de cinq mille (5000) salles de classes équipées sur ressources propres et sur les projets BID, PERI, PAREC.
Dans  ce même registre on note la construction de plus de 2500 nouvelles latrines dans les écoles et la réalisation de plus de 300 forages en vue de doter les écoles bénéficiaires en eau potable.
Enseignants bien formés et déployés
L’année 2010 dans  le secteur  l’enseignement marque l’instauration la formation initiale obligatoire des enseignants principalement dans le primaire. Parallèlement,   Entre  2010 et 2016, des  vagues successives de recrutement et de formation ont permis au gouvernement de recruter et former 4404 élèves-maîtres  dans les écoles nationales d’instituteurs  (ENI).
A cela vient s’ajouter le recrutement cumulé de 17 645 nouveaux enseignants dont 5 000 volontaires du Primaire à la charge des parents.
L’enseignant a aussi sa place
Promouvoir l’essor de l’enseignement c’est également créer des conditions d’incitation à la fonction enseignante. Le gouvernement en est certainement consciente, raison pour laquelle, il procédé à la revalorisation des salaires des enseignantes dont l’accroissement du salaire brut de base, en 2015, était de 70,96% pour les plus hauts salaires (ancienne catégorie A1) et 114,51% pour les salaires les plus bas (ancienne catégorie C) ; ces taux sont nettement dépassés en 2016. 
Il parait évident que de 2005 à 2020, des efforts louables sont consentis pour élever le niveau de l’enseignement général dans tous ses compartiments. Au regard des défis qui s’imposent, il est impérieux de continuer sur cet élan. Car dit-on, « Tant vaut l’école, tant vau la nation ».
La Rédaction

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