Pour Rhodes cet enseignant de carrière, c’est une bière soigneusement raffinée qui n’a rien à envier à ce qui était proposé par le concurrent. «Si je devrais comparer Djama à une bière sur le marché, c’est la Pils. Elles ont pratiquement le même goût, sauf que la nouvelle bière est légèrement plus forte avec un goût un peu plus amère, plus raffiné et qui nous rappelle les bonnes bières allemandes ».
Même constat chez Joe le mécanicien qui note : « Il n’y a rien à dire, la boisson est bien préparée et moi je l’apprécie comme telle. Il m’est difficile d’en faire une comparaison avec d’autres, parce que toutes les bières se différencient par leur goût et c’est le cas de Djama ». Et plus loin d’ajouter, « le taux d’alcool est d’environ 5,2% si je n’abuse pas. Moi je peux prendre cette boisson et revenir travailler comme si rien n’était, d’ailleurs, ça ne me donne pas des migraines comme les autres ».
Abondant dans le même sens, Reine cette étudiante en FASEG, qui vient quelques jours seulement de découvrir la nouvelle boisson nous livre ici ses appréciations.
« J’ai appris qu’une nouvelle brasserie a vu le jour au Togo. Au début j’ai pensé à une filiale de la Brasserie de Lomé avant d’apprendre par les amis qu’il s’agissait plutôt de la SNB. Mais sa nouvelle boisson, je l’ai découverte il y a seulement trois jours à l’anniversaire de mon oncle et sans vous mentir, je l’ai beaucoup apprécié».
En effet, s’ils sont nombreux à apprécier la qualité et la saveur de la nouvelle Djama Pilsner, il y a aussi de ces personnes qui pointent du doigt sa faible disponibilité sur le marché.
C’est le cas de Yves, ce magasinier de profession, aujourd’hui devenu un fidèle consommateur, mais qui devra très vite se confronter à la rareté du produit sur le marché.
« J’ai pris Djama pour la première fois parce que mes amis m’en ont parlé. Mais depuis que je suis devenu un habitué pour ne pas dire un de ses fidèles consommateurs, je me rends compte maintenant de sa faible disponibilité chez les détaillants ».
Pour Checou, ce gérant de Bar, la commercialisation de Djama devient plus lucrative parce que la demande des consommateurs devient plus forte.
« Il faut l’avouer, j’ai commencé par commercialiser la Djama depuis quelques semaines parce que mes clients en sollicitent. Mais le plus difficile, c’est son premier approvisionnement, où vous êtes obligés d’acheter et les boissons, et les bouteilles et les casiers. Du coup, cela nous revient un peu plus coûteux ».