Charte des bonnes pratiques éditoriales et déontologiques

  • Cette charte exprime la ligne éditoriale et éthique des publications sur le www.gapola.tg , à laquelle sont soumis les fondateurs, collaborateurs et auteurs des publications. Elle tient compte des principes universels d’impartialité et d’équité qui fondent le journalisme. Il développe les instructions contenues dans nos manuels en matière d’éthique. Elle est la Bible qui guide toutes nos publications.

    Sa rédaction qui a connu la participation de toute l’équipe de Gapola Service et du www.gapola.tg a été unanimement adoptée par tous.
Le site d’informations générales www.gapola.tg est enregistré sous le récépissé N°0041/HAAC/12-2021/PL/P. Il est dédié aux décideurs, aux politiques, aux culturels, aux sportifs, aux investisseurs… Bref à tous les Togolais.
Il se veut depuis 2015, une référence pour informer, sensibiliser et éduquer la population.
Le www.gapola.tg est un site d’informations générales. Pour sa crédibilité, il s’est fixé certaines règles.

 

1) Les journalistes doivent garantir une couverture exacte, équilibrée et impartiale de l’actualité. Ils s’engagent à corriger leurs erreurs dans la transparence.

 

2) Les journalistes visent la neutralité, l’absence de préjugés ou de préférences. Ils ne relaient pas d’influence extérieure. Ils ne peuvent être contraints à accomplir un acte professionnel qui serait contraire à la Charte des bonnes pratiques éditoriales et déontologiques de l’organe.

 

3) Les journalistes protègent la confidentialité des sources et ne les mettent jamais délibérément en danger.

 

4) Les journalistes respectent la présomption d’innocence.

 

5) Les journalistes ont le devoir de rechercher la vérité des faits et de ne pas rapporter passivement l’information qui leur est soumise. Le doute fait partie de la culture du journaliste.

 

6) Les journalistes ne manipulent pas les images et ne les trafiquent pas lors du montage pour changer leur sens. Ils ne manipulent pas les citations.

 

7) Les journalistes identifient leurs sources d’informations dans la transparence et ne plagient pas.

 

8) Les journalistes font preuve de tact dans leurs contacts avec des victimes et leurs proches. Ils doivent être particulièrement attentifs lorsqu’ils interviewent, photographient et collectent les informations.

 

9) Les journalistes doivent s’identifier en tant que tels. Ils ne recourent pas à des subterfuges, sauf en cas d’autorisation de la hiérarchie.

 

10) Les journalistes n’utilisent pas les informations dont ils disposent à leur profit personnel, notamment financier. Ils ne paient pas leurs sources.
Les journalistes du journal Gapola doivent se présenter sous cette qualité. Ils ne doivent pas cacher ou déguiser leur identité, sauf raison impérative telle que leur sécurité personnelle.
Les journalistes du journal Gapola doivent rapporter les faits avec exactitude et dans leur contexte, dans le souci de la vérité, sans omissions délibérées. Nous séparons les faits des commentaires, et ne rapportons pas les rumeurs comme des faits.
 
Nous maintenons les critères les plus stricts de vérification. Le titre et le premier paragraphe doivent être étayés par la suite de l’article, qui doit contenir les éléments de contexte nécessaires. Chaque article doit être sourcée clairement et précisément.
 
Nous ne pouvons utiliser des sources anonymes qu’en l’absence d’alternative ou pour des raisons de sécurité, et à condition que l’importance de l’histoire le justifie.
 
Les photos et les vidéos ne doivent pas être mises en scène, manipulées ou éditées de sorte à donner une image fausse de l’événement.
 
L’information utilisée pour confectionner les infographies doit provenir de sources dignes de confiance et être vérifiée sérieusement.
 
Nous ne devons pas nous laisser influencer par la publicité entourant un événement, et ne jamais exagérer.
 
Nous traitons les affirmations superlatives telles que “premier”, “plus grand”, “meilleur” et “pire” avec le scepticisme qu’elles méritent. Nous avons le devoir de rechercher la vérité des faits, et de ne pas rapporter passivement l’information telle qu’elle se présente à nous.
 
Nous devons savoir ne pas nous contenter de ce que déclarent nos sources. Nous pouvons citer avec exactitude un personnage et les chiffres.
 
Rapporter l’information est notre devoir, mais nous devons aussi attirer l’attention sur toute invraisemblance ou inexactitude dans les propos que nous rapportons.
 
En d’autres termes, nous devons tout faire pour fournir la couverture des événements la plus claire et conforme à la vérité possible.
 
Ce rôle consistant à livrer des informations exactes et vérifiées prend une importance plus décisive que jamais à mesure que s’accroissent le “bruit” et la rumeur véhiculés par internet et les réseaux sociaux.
Notre couverture doit être juste, impartiale et équilibrée.
 
Nous devons tenter de joindre toutes les parties prenantes d’une histoire et d’obtenir les commentaires de ceux que l’on critique ou que l’on accuse.
 
A moins que nous ayons affaire à une information particulièrement urgente, nous devons accorder aux personnes un temps raisonnable pour nous répondre, et un seul coup de téléphone ou un seul courriel ne suffisent pas.
 
Si nous ne parvenons pas à joindre une personne mise en cause à temps, nous devons le dire dans notre article, continuer de tenter d’obtenir un commentaire, et actualiser la dépêche et quand nous l’obtenons. Produire une couverture équilibrée ne nous oblige pas à consacrer autant d’espace à toutes les parties concernées.
 
Nous n’avons pas à rapporter les propos incitant à la haine ou à la violence, ni les diffamations, ni la propagande.
 
Nous ne sommes pas non plus obligés de citer des vues contredisant des faits établis que nous fournissons à titre de contexte.
 
Nous devons régulièrement prendre de la distance, et nous demander si notre couverture est effectivement équilibrée et complète, en particulier lorsque nous couvrons des sujets sensibles tels que des conflits ou des élections.
Les journalistes du journal Gapola exploitant des données doivent s’assurer que ce matériau est exact et provient d’une source fiable.
 
Le contenu qui en résulte doit être présenté de façon neutre, et non pas d’une façon favorisant un récit ou manifestant une préférence.
 
L’échelle des graphiques présentant les données doit être telle qu’elle donne leur mesure exacte.
Accepter de traiter une information sous embargo nous contraint, sur un plan éthique, à respecter celui-ci. Cette obligation cesse toutefois dès lors qu’un autre média rompt l’embargo, ou s’il publie des éléments sous une mention d’« exclusivité » avec l’approbation tacite des auteurs de l’information sous embargo.
Nous devons expliquer les circonstances dans lesquelles nous avons conduit une interview, et dire si des règles préalablement établies par l’interviewé(e) ont été suivies dans ce cas, l’interview doit être approuvée d’avance par la hiérarchie éditoriale.
 
S’il s’agit d’une interview en face à face, nous devons l’expliquer en disant où elle a eu lieu, et ajouter les éléments de couleur qui enrichiront l’histoire.
 
Si l’interview s’est déroulée par téléphone ou par des moyens électroniques ou des logiciels de visioconférence (Teams, Zoom, etc.), nous devons aussi l’indiquer. Cette précision est indispensable pour ne pas tromper le lecteur, qui serait autrement fondé à croire que l’interview a eu lieu en face à face.
 
Nous devons aussi dire si les questions ont été soumises à l’avance.
 
Nous ne soumettons en aucun cas le texte d’une interview pour relecture.
 
Nous pouvons recontacter la personne interviewée pour éclaircir certains points techniques ou certaines citations.
Nous ne présentons jamais le travail des autres comme le nôtre.
 
Si nous utilisons des informations extraites du travail d’autres journalistes, ou des pick-ups d’interviews et d’autres médias, la source doit être clairement identifiée et créditée. Un journaliste ne viole jamais le copyright.
Les journalistes ont le devoir de protéger l’identité des sources confidentielles, et de ne jamais les mettre délibérément ou consciemment en danger.
 
La surveillance numérique est désormais courante, et doit être prise en compte lorsque l’on travaille sur des sujets délicats.
 
Quand nous promettons la confidentialité à nos sources, nous devons être prêts à accepter toutes les conséquences judiciaires que cela peut entraîner.
 
Les journalistes ne doivent jamais remettre à des tiers leurs enregistrements, leurs notes ou leurs images.
 
Si on le leur demande, ils doivent consulter la rédaction en chef, qui avise si nécessaire la direction juridique.
Les journalistes de Gapola respectent les lois des pays où ils travaillent.
 
Ils ne peuvent recourir, pour recueillir de l’information, à des moyens illégaux tels que le vol, la tromperie, le vol de mots de passe, le piratage informatique ou la surveillance électronique.
 
Nous pouvons faire état d’informations dont l’origine est discutable juridiquement, par exemple des documents classés ayant fuité, mais nous devons nous assurer que nous ne nous exposons pas à des actions judiciaires.
 
Il est nécessaire dans ces circonstances de prendre l’avis de la hiérarchie éditoriale, qui sollicitera ensuite la direction juridique.
Nous devons rapporter les citations précisément, sans modifier ce qui a été dit.
 
Corriger les erreurs grammaticales n’est pas de notre responsabilité, à l’exception de petites fautes ou de répétitions.
 
Mais nous n’avons pas non plus à exposer quelqu’un volontairement au ridicule bien qu’il soit légitime de citer une personnalité publique ayant fait une erreur.
 
Si nécessaire, on peut paraphraser. Il faut éviter les ellipses, et de façon générale, il est préférable de donner une citation complète que tronquée.
 
En cas de doute, il faut expliquer où et comment a été obtenue la citation.
Le ton employé pour les articles doit respecter certaines règles :

 

Les articles doivent être neutres et privilégier la 3ème personne du singulier.

 

La vulgarisation des propos est essentielle afin que les messages véhiculés soient compréhensibles par tout un chacun.

 

Le ton institutionnel peut laisser la place à un ton plus authentique afin de créer une relation de proximité. Le langage familier est toutefois proscrit.
Quand des reproches sont faits sur notre couverture, nous devons les traiter avec politesse, calme et rapidité, et ce y compris lorsque nous estimons que le reproche est injustifié.
 
Quand les reproches sont légitimes, nous pouvons corriger une erreur factuelle, mais aussi actualiser en donnant la parole à une personne qui apparaît lésée ce qui ne nous empêche pas de retourner vers la source de la dépêche originelle pour obtenir un nouveau commentaire.
 
Dans le cas de plaintes pouvant avoir potentiellement une suite judiciaire (diffamation ou autre infraction pénale), nous devons d’abord demander à la personne de soumettre sa plainte par écrit.
 
Nous devons ensuite en référer à la hiérarchie, qui transmet à son tour à la direction juridique. La correspondance avec la personne concernée ne doit pas aller au-delà du fait de prendre acte de la réception de sa contestation, et de dire qu’elle est transmise à la direction juridique. Les demandes de droit de réponse doivent être transmises à la hiérarchie qui transmettra à la direction juridique.
Gapola doit corriger ses erreurs rapidement et dans la transparence. Même si des jours ou des semaines ont passé, il faut corriger les erreurs factuelles et, si nécessaire, annuler et les supprimer sans hésiter à recueillir l’avis de la hiérarchie.
Les journalistes du journal Gapola doivent avertir leur hiérarchie de conflits d’intérêt qui pourraient influencer leur couverture médiatique d’un sujet.
 
Si nécessaire, ils s’excluent eux-mêmes de la couverture concernée.
Les journalistes du journal Gapola ne doivent pas accepter d’hébergement, ni de cadeaux, de voyages, de billets de spectacles etc. de leurs sources, à l’exception d’objet n’ayant qu’une valeur symbolique. Nous n’acceptons jamais d’argent sous aucune forme, et tout objet de valeur offert en cadeau doit être refusé poliment, en expliquant la politique du Gapola.
 
Les sorties occasionnelles, les déjeuners et les dîners font partie intégrante du journalisme, mais il est préférable d’inviter plutôt que d’être invité.
 
Aucun contact ne doit s’attendre à un traitement préférentiel lié à ces invitations.
 
Nous ne devons jamais recevoir à notre domicile de cadeaux ni d’objets promotionnels de la part de nos contacts.
 
Tout objet prêté pour un test (matériel électronique, voiture, etc.) doit être rendu sous 72 heures.
 
Les prêts de longue durée ou de durée indéfinie sont interdits.
 
Les objets faisant l’objet d’une critique (livres, disques, jeux vidéo) peuvent être conservés, mais pas revendus.
 
Les journalistes peuvent accepter des billets gratuits ou des passes média pour assister à des manifestations qu’ils couvrent, ou auxquelles ils se rendent à un autre titre officiel pour le journal.
 
Nous ne payons pas nos sources en échange de l’information.
 
En fonction des habitudes locales et dans des occasions particulières, nous pouvons offrir des cadeaux à nos sources, tels que des souvenirs du journal Economie et Développement de valeur symbolique.
 
Nous ne devons jamais offrir d’argent.
Le journal Gapola peut être “partenaire média” de conférences ou d’événements en rapport avec ses activités (journalisme, technologie, investigation numérique etc.).
 
Ce type de partenariat peut contribuer à accroître notre notoriété dans des secteurs clés et est une pratique courante dans les médias.
 
Il doit être convenu par écrit dans l’accord de partenariat que la couverture de l’événement par le journal Gapola.
Le journal Gapola respecte les activités extérieures de ses collaborateurs dans la vie associative, la politique ou le soutien à des causes.
 
Une séparation claire doit toutefois être tirée entre les activités menées aux titres personnel et professionnel.
 
En revanche, le nom du journal Gapola ne saurait être mis en avant dans des activités de promotion ou de campagne.
 
De façon générale, les journalistes ne doivent rien faire qui puisse créer un doute sur leur propre capacité, ou sur celle du journal Gapola, à fournir une couverture journalistique impartiale.
 
Il ne s’agit en rien de limiter la possibilité des journalistes à s’engager dans leurs activités personnelles, mais uniquement d’éviter que des intérêts extérieurs n’entrent en conflit avec ceux du journal Gapola.
Il est interdit aux journalistes du journal Gapola de faire la promotion de produits commerciaux.
Les revenus du journal Gapola proviennent des sources diversifiées.
 
La Société Gapola Service finance son activité grâce à la vente de contenus éditoriaux et à la publicité.
Les revenus du journal Gapola proviennent des sources diversifiées. La Société Gapola Service finance son activité grâce à la vente de contenus éditoriaux et à la publicité.
Les journalistes du journal Gapola acceptant de répondre à des sollicitations médiatiques doivent respecter les règles d’impartialité et d’équité de la société éditrice.
 
Ils ne doivent accepter les demandes d’interview que de médias respectés, et éviter les situations dans lesquelles ils peuvent être interrogés par des polémistes, ou dans lesquelles leurs propos peuvent être exploités aux fins de propagande.
 
Aucune interview ne peut être accordée sans l’accord préalable de la hiérarchie.
Si vous vous identifiez comme journaliste du journal Gapola sur les réseaux sociaux, respectez les valeurs d’impartialité et d’équité de la société éditrice, et mentionnez dans votre profil que les opinions exprimées n’engagent que vous.
 
Souvenez-vous que les réseaux sociaux ont la même audience que les autres médias, et parfois une plus grande audience.
 
Cela doit être pris en compte quand on exprime une opinion.
 
Les journalistes prenant part aux réseaux sociaux à titre professionnel doivent clairement s’identifier et indiquer le poste qu’ils occupent au sein du journal.
Les réseaux sociaux sont un outil indispensable pour les journalistes, en même temps qu’un moyen de maintenir un contact constant en ligne avec les sources.
 
Il faut toutefois garder à l’esprit que les relations sur les réseaux sociaux peuvent susciter des questions sur notre impartialité.
Le journal Gapola est un média indépendant de tout parti politique, de tout courant de pensée en particulier, de toute organisation économique, confessionnelle ou religieuse.
 
Il va de soi cependant que chaque individu a des convictions et qu’elles seront visibles.
 
Fidèles à notre ambition d’ouverture, nous nous engageons à considérer les opinions et les visions de chacun dans le respect des différences et du débat d’idées constructif et civilisé.
 
L’objectif du journal Gapola est de concevoir et de promouvoir des idées nouvelles, transversales, parfois inattendues, dont la pertinence n’est pas dictée par l’appartenance à un corpus de pensée, mais par son potentiel à améliorer de façon tangible notre vision, nos actions et nos perspectives de construction commune d’un monde en pleine transition.
 
L’information diffusée par le journal Gapola doit être fidèle à la vérité et respecter le principe de la bonne foi. Il s’engage à donner à une personne ou à une entité mise en cause, la possibilité d’exprimer son point de vue, dans toute la mesure du possible.
L’objectif du journal Economie et Développement est de produire et relayer des connaissances et de générer des réflexions destinées à être publiées, diffusées et partagées par le plus grand nombre.
 
Nous sommes conscients de la responsabilité qu’implique une telle démarche, aussi nous nous engageons à assurer la qualité des contenus publiés ainsi qu’à respecter les principes éthiques fondamentaux reconnus par l’ensemble des communautés.
En la matière, la présente charte s’appuie sur les accords de l’ONU sur les droits de l’homme et en particulier les articles 19 et 20 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.

 

 

 Art. 19 :
(1) Nul ne peut être inquiété pour ses opinions.
(2) Toute personne a droit à la liberté d’expression ; ce droit comprend la liberté de rechercher, de recevoir et de répandre des informations et des idées de toute espèce, sans considération de frontières, sous une forme orale, écrite, imprimée ou artistique, ou par tout autre moyen de son choix
(3) L’exercice des libertés prévues au paragraphe. 2 du présent article comporte des devoirs spéciaux et des responsabilités spéciales. Il peut en conséquence être soumis à certaines restrictions qui doivent toutefois être expressément fixées par la loi et qui sont nécessaires :
  1. a) Au respect des droits ou de la réputation d’autrui ;
  2. b) A la sauvegarde de la sécurité nationale, de l’ordre public, de la santé ou de la moralité publiques.

 

Art. 20 :
(1) Toute propagande en faveur de la guerre est interdite par la loi.
(2) Tout appel à la haine nationale, raciale ou religieuse qui constitue une incitation à la discrimination, à l’hostilité ou à la violence est interdit par la loi.
Ainsi que sur les articles 16 et 17 de la Constitution fédérale de la Confédération Suisse : Art. 16 – Libertés d’opinion et d’information
(1) La liberté d’opinion et la liberté d’information sont garanties.
2) Toute personne a le droit de former, d’exprimer et de répandre librement son opinion. (3) Toute personne a le droit de recevoir librement des informations, de se les procurer aux sources généralement accessibles et de les diffuser.

 

Art. 17 – Liberté des médias
(1) La liberté de la presse, de la radio et de la télévision, ainsi que des autres formes de diffusion de productions et d’informations ressortissant aux télécommunications publiques est garantie.
(2) La censure est interdite.
(3) Le secret de rédaction est garanti
Droits et devoirs des journalistes
La présente charte reconnaît la Déclaration des devoirs et des droits des journalistes au Togo.
Un comité de pilotage baptisé « Conférence de rédaction » se réunit au quotidien pour déterminer les sujets selon leur état d’avancement et l’intérêt de communiquer sur ceux-ci.

 

Il se compose :
– Il est la personne chargée de rendre public le journal, afin de le communiquer au grand public.
– Le directeur de publication est en ce sens un personnage clef et central de l’organisme, responsable de l’animation de l’équipe rédactionnelle.
– Le directeur de la publication est obligatoirement le représentant légal de la personne morale éditrice de la publication, il porte la responsabilité pénale des publications. Il est aussi, l’administrateur du média (www.gapola.tg ).
Le rédacteur en chef est un professionnel de l’information qui donne le ton et définit les contenus.
– Il anime l’équipe de journalistes de sa rédaction et choisit des sujets à traiter. Toute idée d’article lui est obligatoirement soumise.
– Il dirige les conférences de rédaction, détermine les sujets (angle, nombre de pages, de minutes…), répartit le travail entre les journalistes.
– Le rédacteur en chef est le garant de la ligne éditoriale du journal Gapola.
Au sein de la rédaction du journal Gapola, le secrétaire de rédaction intervient en aval du travail effectué par les journalistes. Il relit les articles à paraître, corrige les fautes d’orthographe et de syntaxe afin que la publication soit parfaite ! Aussi, il procède à d’éventuelles coupes si l’article est trop long, apporte des modifications dans les titres, les intertitres ou les « chapô ».
Le journaliste recueille, vérifie, traite, agrège et transmet les résultats de son travail.
Le directeur de publication, est chargé de veiller à la qualité de la publication. A ce titre, il dispose d’un droit de regard sur l’ensemble des contenus avant publication du support. Il peut modifier certains contenus voire supprimer certaines informations ou visuels jugés non conformes :
À caractère raciste, xénophobe, sexiste ou homophobe,
Contraire à l’ordre public et aux bonnes mœurs,
À caractère injurieux et diffamatoire,
De propagande ou de prosélytisme (politique, religieux, commercial…).
Les applications d’Intelligence artificielle (IA) générative peuvent constituer de nouveaux outils pour les journalistes et leur rôle va encore s’accroître à l’avenir.
 
Cela conduit le journal Gapola à établir des règles éditoriales concernant l’utilisation de l’IA, qui sont appelées à évoluer en même temps que ces technologies et leurs usages.
Sous validation du directeur de publication et du Conseil d’Administration, la charte éditoriale peut être modifiée si besoin en vue de l’adapter aux réalités pratiques tout en restant dans la droite ligne de mission éditoriale.
La rencontre a lieu chaque six mois (semestre) dans l’année sur convocation du directeur de publication.
Tous les participants doivent y relever les goulots d’étranglement à la mise en œuvre de la charte.
Au cours de cette réunion, la rédaction du journal Gapola peut amender la charte éditoriale.
Lorsque le besoin se fait sentir de recruter un journaliste, à la rédaction de Gapola, tout recrutement passe par soit par la liste des anciens stagiaires, et la consultation de la liste des journalistes disposant de la carte de presse délivrée par la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la communication (HAAC) en cours de validité.
 
Le journaliste respectant les conditions pré définies par le Directeur de publication selon le poste souhaité est consulté par téléphone par le rédacteur en chef.
 
Il sera reçu par le Directeur de publication, pour définir les conditions du travail et découvrir la charte éditoriale.
 
Après signature du contrat de travail, il sera présenté aux membres de la rédaction.
 
Il est désormais compté parmi le personnel du journal avec une carte professionnelle.
Pour mener à bien son travail et être au parfum des réalités en journalisme, le journaliste appartenant à la rédaction du journal Gapola renforce ses capacités soit par la formation organisée par la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la communication (HAAC), les organisations de la presse, les partenaires sur le plan international.
 
Aussi, à travers, les échanges services, le journaliste pourrait être formé par une Université privé partenaire selon le besoin de la rédaction (Formation en analyse financière, boursière, économique…).
 
Nous souhaitons entretenir la motivation de nos collaborateurs et les accompagner dans leurs parcours.
 
Fait à Lomé, le 03 janvier 2023
Directeur de publication
 
Thierry AFFANOUKOE
 
 
1-Président : AFFANOUKOE Koami Thierry (Directeur général) : +228 92425178
2-Directrice financière : AZIADJO Clémentine +228 91850705
3-Membre : AFFANOUKOE Winner
4-Membre : AFFANOUKOE Zoé
5-Membre : SOMALI Afi
  • Directeur de publication : AFFANOUKOE Koami Thierry
  • Secrétaire général : Caleb AKPONOU
  • Journaliste : Chérifatou ATCHABAO
  • Journaliste : Edem Komi
 

Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. AcceptER Lire Plus....

Politique de confidentialité et de cookies