Il y a quelques années, le gouvernement togolais s’est engagé dans l’amélioration des conditions de vie des populations. C’est ainsi qu’il a opéré un certain nombre de réformes en vue de renforcer la bonne gouvernance économique et la lutte contre la corruption avec la fusion des régis douanes et impôts en une seule et unique entité. D’où la création de l’office togolais des recettes (OTR).
Cet engagement du gouvernement porte ses fruits et se manifeste par les recettes fiscales budgétaires constamment en hausse, allant de 162,1 en 2005 à 624 milliards de FCFA en 2019.
Grâce à cet engagement gouvernemental, le Togo a désormais un climat des affaires assaini et se positionne aujourd’hui sur le marché international comme 1er réformateur en Afrique et 3ème dans le monde selon le classement Doing Business 2019.
Le niveau relevé des recettes budgétaires, amène le gouvernement à mettre un accent particulier sur des dépenses publiques d’investissements pour multiplier des projets socioéconomiques nécessaires à l’épanouissement des citoyens.
Les chiffres enregistrés témoignent également de la vitalité qu’apportent les réformes engagées pour le secteur privé qui soutient en grande partie l’économie togolaise.
La consécration de la loi des finances 2020 à d’énormes allègements fiscaux pour davantage inciter la croissance économique est une parfaite illustration de l’engagement gouvernemental.
Voici le tableau récapitulatif de l’évolution de cette réalité
2005 : 162,1 milliards de FCFA
2006 : 179,1 milliards de FCFA
2007 : 195,9 milliards de FCFA
2008 : 211,2 milliards de FCFA
2009 : 229,1 milliards de FCFA
2010 : 246,7 milliards de FCFA
2011 : 291,4 milliards de FCFA
2012 : 27,7 milliards de FCFA
2013 : 403,6 milliards de FCFA
2014 : 458,2 milliards de FCFA
2015 : 516,3 milliards FCFA
2016 : 575,0 milliards de F CFA
2017 : 563,2 milliards de FCFA
2018 : 546,9 milliards de FCFA
2019 : 624 milliards de FCFA
Elom KPOGLI (stagiaire)