11 mai, c’est à cette date que l’apôtre Sodji Gabriel (Photo) a poussé son premier cri. Samedi 11 mai 2019, où il soufflait une bougie de plus, il a rendu grâce à Dieu pour l’avoir comblé de sa grâce durant des années sur terre. C’est à travers une célébration festive.
C’est en compagnie des membres de sa famille, de son église et amis que le fondateur de l’Église Internationale des Favorisés de Dieu a adressé ses remerciements à Dieu. Cette célébration au-delà d’être une fête anniversaire, a été aussi une occasion pour l’homme de Dieu de proclamer les merveilles de Dieu, le Tout Puissant dans sa vie.
“A travers la réjouissance de ce soir, c’est juste une manière de remercier le Seigneur pour m’avoir accordé une année nouvelle, ce qu’il a fait dans ma vie durant les années écoulées et ce qu’il fera encore pour moi les années à venir“, a précisé l’apôtre Gabriel Sodji.
Appelé par Dieu, l’apôtre Sodji fait de l’œuvre de Dieu sa vocation et nourrit d’ambition de se mettre davantage au service du Roi des Rois. De ce fait, il envisage pêcher plus d’âmes perdues, ceci pour la gloire de Dieu.
“Ma vision pour les années à venir, c’est de conquérir davantage des âmes pour Jésus-Christ. L’Église Internationale des Favorisés de Dieu œuvre déjà en ce sens, d’où notre implantation au Togo, au Ghana, au Congo et au Benin. Et nous comptons conquérir toute l’Afrique et le monde entier pour Jésus-Christ“, a-t-il informé.
En tant qu’homme de Dieu, il n’est pas indifférent de la situation socio- politique dans le pays. Il envisage, à cet effet, apporté sa pierre pour la préservation de la paix au Togo. Dans les prochains jours, il mettra sur pied un mouvement de promotion de paix qui sera dénommé, “Togo en Mouvement“.
“Ce mouvement est déjà en gestation et verra le jour très prochainement. Il aura pour mission la réconciliation du peuple, la promotion de la paix et l’intérêt supérieur de la nation“, a-t-il souligné.
En attendant la naissance de ce mouvement, l’homme de Dieu, Gabriel Sodji invite déjà les Togolais à la culture de paix et de la tolérance.
Esaïe EDOH
