Mieux, le pays qui devra se donner pour mission l’assainissement des finances publiques, va grâce au FEC, ramener son inflation à -2% et faire passer son déficit excédant, de 4,5% en 2016 à 6,5% en 2018. Dans la foulée, c’est une dette qui sera ramenée à un niveau de maturité de 4% et 5%.
Dans cette logique et avec la mise en œuvre du PND, dont le financement est estimé à 7 milliards d’euros, le pays dont la croissance économique se stabilisait autour de 5% va mettre le cap sur 6,2% en 2022.
Mieux, c’est une contribution de plus de 60% qui sera demandée au secteur privé en termes de financement du nouveau Plan de développement qui vise aussi à faire de Lomé, un hub logistique de la sous-région.
Dans cette logique et pour accompagner le secteur privé, différentes initiatives seront engagées dans le sens de son développement.
En ligne avec cet objectif, celui visant l’accompagnement du secteur privé, le Togo va adhérer à la Zone de Libre-échange continentale africain (ZLECAF), avec pour objectif d’offrir plus d’opportunité à son secteur privé.
Mieux, pour renforcer son accompagnement au secteur privé, le pays s’engage également avec l’appui des différents partenaires au développement, à encourager la production, à valoriser la consommation des produits locaux ainsi que la contribution du numérique à la compétitivité des entreprises.