Révérend Pasteur Joseph Adjognon |
En vue d’accompagner les populations en cette période de crise sanitaire due au covid-19, le Révérend Pasteur Joseph Adjognon, du Ministère International de Prière et de Changement, n’a pas lésiné sur les moyens en offrant de l’eau potable aux populations d’Agoè Atsanvé.
L’initiative entre dans le cadre des œuvres humanitaires qu’initie le Pasteur, pour accompagner les populations en cette période de crise due à la pandémie.
Dans ce cadre, le Révérend Pasteur a procédé lundi 20 mars, à l’inauguration de différents points d’eau dans le quartier Agoè Atsanvé.
Ainsi annonce-t-il, «comme j’ai l’habitude de le dire, l’eau c’est la vie c’est pourquoi j’ai pensé à offrir en premier lieu de l’eau potable aux populations pendant cette période de crise sanitaire de coronavirus ».
Une manière pour l’homme de Dieu, d’être solidaire avec les populations comme le recommande les Saintes Écritures Bibliques.
Une initiative parallèle
D’une pierre deux coups, le Révérend Pasteur Joseph Adjognon a également profité de l’occasion pour sensibiliser les populations sur les mesures barrières à adopter en vue d’éviter toute contamination.
« En prélude nous avons fait une campagne de sensibilisation dans les marchés des quartiers où les points d’eau sont installés pour permettre à ces populations de s’en servir », ceci, en se lavant les mains et en l’utilisant pour leur besoin, «car les populations en ont besoin et nous ne pouvons pas attendre le gouvernement pour ce simple geste qui peut sauver des vies », a-t-il rappelé.
Reconnaissant la valeur du geste humanitaire engagé par le Pasteur, les populations d’Agoè Atsanvé n’ont pas tari de remerciement.
Pour l’Artiste Chanteur, Petit Prince, il s’agit d’une grande joie de découvrir par surprise le geste du Pasteur de l’Eglise Ministère International de Prière de Changement.
« Nous remercions le pasteur puisque depuis, nous sommes confinés à la maison pour éviter la contamination de coronavirus, du coup, les 25 francs et 50 francs pour acheter de l’eau est un problème car on en manque ».
Caleb AKPONOU